
« Né d’une thèse de 3e cycle soutenue
en 1979, le livre de Lucien Mercier comble une lacune dans l’historiographie
sociale de la France d’avant la Première Guerre mondiale. Celui qui était
intéressé par le phénomène U. P. Ne pouvait, jusqu’ici, que se reporter aux Cahiers
de la quinzaine qui avaient publié, à chaud, plusieurs études sur le sujet.
Masi nous ne possédions pas d’ouvrages de synthèse qui auraient permis de
saisir les différents aspects de ce mouvement éducatif. [...]
L’Université populaire s’est conçue d’emblée
comme une institution autonome, non dépendante des autres organisations
sociales : appendice ni de l’école, ni d’un parti ou syndicat. A cette
première originalité, s’ajoute une seconde : toutes les opinions sociales
et politiques pouvaient y être présentes ». [Source]
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