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miércoles, 27 de noviembre de 2013

La Commune : Histoire et souvenirs - Louise Michel

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En 1898, Louise Michel achève la rédaction de ses souvenirs sur la Commune : " Ecrire ce livre, annonce-t-elle au lecteur, c'est revivre les jours terribles où la liberté nous frôlant de son aile s'envola de l'abattoir ; c'est rouvrir la fosse sanglante où, sous le dôme tragique de l'incendie, s'endormit la Commune, belle pour ses noces avec la mort, les noces rouges du martyre. [...] Dans cette grandeur terrible, pour son courage à l'heure suprême lui seront pardonnés les scrupules, les hésitations de son honnêteté profonde. " Quelque vingt-cinq années après les événements, cette figure de la Commune de Paris n'a pas perdu sa fougue. Dans ce récit passionné, elle raconte, jour après jour, les épisodes de ce drame qui lui valurent d'être emprisonnée puis déportée pendant près de dix ans en Nouvelle-Calédonie. La richesse et la précision de ses informations font de ce texte un document exceptionnel sur la Commune et ses acteurs. De plus, ses qualités stylistiques et la force de son écriture élèvent ce témoignage émouvant au rang des grands classiques de notre littérature politique.

http://classiques.uqac.ca/classiques/michel_louise/la_commune/michel_la_commune.pdf

domingo, 17 de noviembre de 2013

Les Universités Populaires (1899-1914) - Lucien Mercier



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« Né d’une thèse de 3e cycle soutenue en 1979, le livre de Lucien Mercier comble une lacune dans l’historiographie sociale de la France d’avant la Première Guerre mondiale. Celui qui était intéressé par le phénomène U. P. Ne pouvait, jusqu’ici, que se reporter aux Cahiers de la quinzaine qui avaient publié, à chaud, plusieurs études sur le sujet. Masi nous ne possédions pas d’ouvrages de synthèse qui auraient permis de saisir les différents aspects de ce mouvement éducatif. [...]

L’Université populaire s’est conçue d’emblée comme une institution autonome, non dépendante des autres organisations sociales : appendice ni de l’école, ni d’un parti ou syndicat. A cette première originalité, s’ajoute une seconde : toutes les opinions sociales et politiques pouvaient y être présentes ». [Source]

http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57122431


viernes, 5 de julio de 2013

Écrits politiques - Marcel Mauss

http://classiques.uqac.ca/classiques/mauss_marcel/ecrits_politiques/ecrits_politiques_L20.jpg

Est-il légitime de s'engager lorsqu'on est un savant ? Oui, affirme Marcel Mauss (1872-1950) au tournant de ce siècle, mais c'est en homme de science qu'il convient de le faire. Autrement dit, s'il lui revient bien d'éclairer les grands enjeux sociaux et politiques et de dire aux sociétés si elles font bien, pratiquement et idéalement, de poursuivre dans la voie qu'elles ont choisie, le scientifique ne saurait renoncer, en élargissant son public, aux principes qui le guident dans l'exercice de son métier : probité, rigueur, refus du prophétisme. Cette nouvelle conception de la responsabilité du savant, le pionnier des sciences sociales et humaines en France la met en pratique dès les années 1890 alors qu'il est étudiant à Bordeaux, fréquentant le Groupe des étudiants socialistes, adhérant au Parti ouvrier français, tout en s'attachant à définir les fondements d'un socialisme humaniste. L'Affaire Dreyfus (il s'engagera vivement aux côtés des dreyfusards) puis la Première Guerre mondiale (le pacifiste internationaliste qu'il est se portera volontaire après l'assassinat de Jaurès) marqueront de façon décisive l'intellectuel et le militant. Et tandis que, jusqu'à sa mort, Mauss s'attachera à percer le mystère du lien social, mobilisant l'histoire des religions, l'ethnographie, la philologie, la sociologie pour comprendre comment les sociétés se constituent et comment elles se reproduisent, il multipliera les interventions politiques (dans L'Humanité avant 1920, Le Populaire ensuite, telle ou telle revue savante, à travers aussi son engagement dans le mouvement coopératif, les cours qu'il dispense à la Bourse du travail ou ailleurs) pour expliquer qu'il n'est pas de démocratie sans vie associative dynamique et sans morale fondée sur la solidarité et la réciprocité. Dans la fidélité à Jaurès, l'adhésion au parti socialiste SFIO ira pour lui de soi, tout comme la participation au journal L'Humanité dès 1904. A l'heure de la montée des périls, il observera sans complaisance la révolution d'Octobre et s'engagera dans le combat antifasciste. Les écrits politiques de Marcel Mauss, on l'aura compris, font partie intégrante de son œuvre. Ils sont ici présentés par Marcel Fournier, l'auteur de la biographie de référence (Marcel Mauss, Fayard, 1994).

Fichier 1

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domingo, 5 de febrero de 2012

Mémoires d'un ouvrier en Espagne durant la période 1920-1940 - Balthasar Martinez

 
Balthasar Martinez raconte sa vie d’ouvrier syndiqué à la CNT avant l’éclatement de la guerre, puis son internement par le régime franquiste dans le camp de concentration de Pampelune.

Ces Mémoires ressemblent à un scénario de film. Mais c’est bien la réalité qui est décrite. Celle de la vie d’ouvriers espagnols avant le début de la guerre civile. Un témoignage édifiant sur la faiblesse de l’État Républicain qui a laissé la réaction organiser son coup d’état tout en maintenant l’exploitation des ouvriers. Un témoignage sur une conscience révolutionnaire loin des théoriciens de salon.